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    Le contrat

     

     

     

    Josiane, assistante de direction, est au chômage depuis quelques mois. Elle passe entretiens d'embauche sur entretiens, sans succès. Elle est jeune, pourtant déjà expérimentée, et présente un solide dossier...

     

    Ce matin, elle attend à la réception d'une petite entreprise de commerce de montres et bijoux de luxe.

     

    On vient la chercher : une femme à la beauté fascinante, superbement plantureuse, habillée de manière à la fois élégante et sexy.

     

    -- Josiane ? Bonjour, suivez-moi... entrez !

     

    Josiane lit sur la porte : Nadia, Directrice. Elle entre, suivie de Nadia. Que se passe-t-il ? Elle sent sa présence derrière elle, mais ne l'entend pas. Elle n'ose se retourner. Enfin Nadia passe à côté d'elle et va se placer à son bureau, tout en restant debout. Elle la dévisage longuement. Josiane est gênée... elle se sent déshabillée du regard. La Directrice finit par s'asseoir, observe encore un peu Josiane et enfin l'invite à prendre place.

     

    -- Je suis la patronne, Nadia. Je vais te tutoyer mais j'exige que tu m'appelles Madame la Patronne. Tu as bien compris ?

    -- Heu... ah bon... oui.

    -- Oui qui ?

    -- Oui, Madame la Patronne.

    -- Tu es la quatrième qui se présente, les 3 premières n'ont aucune chance. J'ai

     

    retenu encore quatre candidates. J'ai bien étudié ton dossier et pour le moment tu as la priorité, eu égard à ton CV, tes certificats. Bref, tout est parfait pour moi, et je n'ai pas de questions. Tu me plais beaucoup, j'ai envie de t'engager. Voilà le contrat que je te propose : salaire mensuel brut, quatre mille cinq cents. Treizième salaire. Six semaines de vacances payées, plus une semaine à Noël. Qu'en dis-tu ?

     

    -- Je n'arrive pas à y croire... je ... oui... j'aimerais que vous m'engagiez. Tu

     

    connais l'horaire. Tu n'as pas de questions ? Non ? Allors lis le contrat.
    Josiane a repéré un passage qui l'intrigue : « Deux fois par semaine, durant deux heures, l'employée est au service de la Directrice pour un travail particulier exigeant la plus grande discrétion et la confidentialité. Ces heures bénéficient d'un double salaire. » Elle questionne Nadia à ce sujet.

     

    -- Oui... eh bien, apprends que je ne suis pas n'importe quelle patronne. Je

     

    t'engage à une condition très particulière : je remplace deux heures, en général deux fois par semaine, par deux heures à mon service, et ces heures te seront payées le double.

     

    -- Ah ? de quoi s'agit-il ?

     

    -- Je te propose un essai maintenant : si tu le réussis, tu es engagée, dès demain.
    Tu peux commencer demain ? Regarde, je signe ton contrat, il ne manque plus que ta signature !

     

    -- Oh oui, je suis d'accord ! Que dois-je faire ?

    -- Il ne s'agit pas de travail de bureau, il s'agit de me servir sexuellement !

    -- Pardon ?

    -- Tu n'as pas compris ? Deux heures à mon service, deux heures de sexe !

    -- Mais... je ... non, je ...je ne suis pas lesbienne...

    -- Viens t'asseoir ici, à côté de moi..

     

    Elle dit cela en adressant à Josiane un sourire à la fois si bienveillant, éblouissant, mais aussi légèrement énigmatique, que Josiane se sent subjuguée et cède à l'invitation.
    -- Détends-toi... Fais comme moi, enlève ta veste.

     

    Sous celle-ci, Josiane découvre une impressionnante poitrine moulée par un top très décolleté. Elle-même, quoiqu' interloquée, obéit. Elle porte un chemisier bien échancré. La patronne pose alors ses mains sur la partie des seins dévoilée par l'échancrure ; aussitôt Josiane réagit par un net mouvement de recul.

     

    -- Tu n'aimerais pas que je caresse tes seins ? Ils sont superbes...

    -- S'il vous plaît... non, ça suffit...

     

    -- Je répète : salaire mensuel brut, quatre mille cinq cents. Treizième salaire.
    Six semaines de vacances payées. Une semaine à Noël. Si tu obéis bien gentiment et réussis le test, tu signes ! Sinon, tu me quittes à l'instant !

     

    Sa voix est douce et caressante.

     

    -- Je... je... que dois-je faire ... ?

    -- Tu sais plonger, à la piscine ?

    -- Heu.. oui.

    -- De quelle hauteur ?

    -- Trois ou quatre mètres.

    -- Et tu te souviens de ton premier plongeon ? La première fois que tu t'es trouvée

     

    à trois mètres au-dessus de l'eau ? Tu hésitais ... et d'un coup tu t'es décidée !

     

    -- Oui, c'est vrai.

     

    -- Eh bien, tu te trouves dans la même situation .. tu hésites... mais soudain tu te
    décides et tu acceptes de m'obéir. Quelle belle poitrine ... tu fais du 85 E ?

     

    -- Mais.. je ... oui.. Comment ... ?

    -- Je m'y connais. Et moi ? Devine .

      • Non, je ...je ne sais pas.. ça ne m'intéresse pas...

     

    -- Alors adieu, ma belle ! Je te souhaite sincèrement bonne chance pour trouver
    un autre job !

     

    -- Attendez... Non... je ... que voulez-vous de moi ?

    -- Devine la taille de mes nichons... Allez ! Comme tu es timide !

    -- e ne sais pas... 90 E ?

    -- 95 F, ma belle ! Tu me sous-estimes ! répond Nadia en riant.

    Viens les tâter .... allez, tu es sur le plongeoir... et tu plonges !

    -- Non... je ne peux pas ...

    -- Combien espérais-tu gagner en postulant ?

    -- Trois mille cinq cents.

    -- Tu aimes voyager ?

    -- Oh oui, les voyages me passionnent.

    -- Quelle est la durée de ton plus long voyage ?

    -- Quatre semaines...

    -- Pas plus ? Pourquoi ?

    -- Je n'avais pas les moyens et seulement cinq semaines de vacances.

    -- Avec ce que je te propose, tu pourras faire de plus longs voyages... ça ne te fait

     

    pas envie ?

     

    -- Si... bien sûr...

    -- Écoute... respire lentement et profondément... détends-toi... et laisse-toi faire...

     

    Je te prends gentiment les poignets et pose délicatement tes mains sur mes seins... ça te répugne ?

     

    -- N... non... mais ça me met mal à l'aise...

    -- Respire encore... laisse-toi bien aller... palpe mes seins... doucement... un peu

     

    plus fort .... mais c'est bien ! Bravo ! tu as franchi le premier pas ! Enlève mon top ! ... Je te préviens que je n'aime pas répéter mes ordres. J'ai dit : enlève mon top ! Dégrafe mon soutien-gorge ! Alors, ils ne sont pas magnifiques, mes gros seins ? Admire-les ! Et les tiens ? Enlève ton chemisier !

     

    -- Vraiment ?

     

    -- J'ai dit : « Enlève ton chemisier ! » ordonne Nadia d'un ton autoritaire. Enlève le soutien-gorge ! Tu es mal à l'aise ? Allez, sois fière d'exhiber ta belle poitrine ! Pose de nouveau tes mains sur mes lolos... Allez ! pétris-les, malaxe-les... j'adore ça ! Oui... vas-y ... sois plus énergique... oui, c'est bien....à moi, je vais faire de même avec toi... ferme les yeux... laisse-toi aller... j'aime malaxer de beaux gros seins... tu as une poitrine presque aussi belle que la mienne... bien molle comme je les aime ! Mmh ... il sont mous, ta peau est douce ...

     

    Nadia les tâte, les pétrit, les agite, puis les tête. Consternée, Josiane se laisse faire... elle pense à ce contrat à la fois si proche mais précédé d'un obstacle qui lui paraît infranchissable. Ses idées s'embrouillent...

     

    -- Je te sens encore crispée... mais je sais que tu vas signer le contrat... pas vrai, ma chérie? prends une de mes miches à pleines mains... oui, c'est ça...

     

    Nadia passe une main derrière la nuque de Josiane et l'approche tout doucement du sein qui se trouve dans les mains de Josiane.

     

    -- Tète ce beau gros nichon ! Tu n'as pas entendu ? Tète-le !

     

    Josiane est paniquée et ne bronche pas. Une main de Nadia s'abat sur la joue de Josiane, la gifle est retentissante, Josiane est choquée... Nadia lui prend alors son visage entre les mains et lui sourit avec une infinie douceur.

     

    -- Regarde-moi. Je ne voulais pas en arriver là. Tu vois, il faut de montrer bien docile et tout ira bien entre nous. Tu seras enchantée de travailler ici, avec moi. . Alors... fais ce que je te dis, gentiment... en te laissant aller... ta bouche approche du mamelon... vas-y... oui... bravo, tu es admirable... suce le mamelon... Mieux que ça... ah... c'est mieux... oui... et l'autre sein ? Mais oui... c'est très bien... très très bien. Tu es crispée, mais c'est normal... tout cela est nouveau pour toi... Et maintenant tu vas me voir nue... complètement nue... Voilà ! Dis-moi, je te plais ? Je suis plantureuse, hein ? Mais j'ai aussi du muscle... Cinq heures de fitness par semaine. Mate ces jolis biceps ! Maintenant, écoute-moi bien : tu vas obéir à tous mes ordres... si tu ne t'exécutes pas, tu recevras une gifle magistrale et tu sortiras d'ici pour ne plus jamais revenir, c'est bien compris ? Je veux une réponse ! 

     

    -- Oui Madame la Patronne, répond Josiane, mécaniquement, d'une voix blanche et aussitôt surprise d'avoir répondu ainsi.

     

    À cet instant tout se bouscule dans sa tête. Elle se sent manipulée, exploitée... Elle entrevoit la fin du chômage, la fin des fastidieuses recherches d'emploi... Elle est choquée par ce qu'elle est en train de subir... Elle se voit mener une belle vie... comme dans un cauchemar, elle entend :

     

    -- Tâte mes biceps ! Baise-les ! Touche mon ventre... caresse-le... Et mes cuisses ? Elles sont fermes, pas vrai ? Tâte-les... baise-les aussi... Et maintenant tâte mes mollets! Ils sont bien ronds et musclés, hein ? Baise-les ! Voilà !... tu es à genoux devant ta patronne ! à ta place ! Mais tu vas te prosterner davantage : baise mes pieds !

     

    -- Non... s'il vous plaît... Madame la Patronne... ça je ne peux pas !

    -- Donc tu as décidé de me quitter !

    -- Non... Je ... Mais ça va trop loin.

     

    Elle se met à sangloter. Nadia la relève gentiment, et lui parle avec bienveillance et gentillesse, en lui tenant les mains. Elle se saisit d'un mouchoir et lui essuie ses larmes.

     

    -- Tu t'es remarquablement comportée jusqu'à maintenant. Je suis si contente de toi. J'ai envie que tu sois mon employée. Tu es choquée... mais tu as déjà franchi les premiers pas...je te ferai découvrir des plaisirs inouïs! Tu seras heureuse avec moi. Et je te promets que ton ami ... Tu as bien un ami ?

     

    -- Oui...

     

    -- Je te promets que ton ami te trouvera sexuellement plus épanouie, plus libre, et
    il sera enchanté que tu lui fasses découvrir de nouvelles pratiques !

     

    Nadia se lève.

     

    -- Assieds-toi comme ça, les pieds sur le bord du bureau.

     

    Elle lui enlève ses escarpins, caresse délicatement les pieds nus et enfin pose sa bouche sur un pied, puis l'autre, pour les baiser.

     

    -- Ça ne te plaît pas ?

    -- C'est bizarre...

    -- Tu n'aimes pas ?

    -- Si... un peu.

     

    -- Tu te rends compte ? Moi, la Patronne, je baise les pieds de ma future
    employée ! Alors tu te mets gentiment à ta place de l'employée et tu baises les pieds de ta Patronne... La seule différence, c'est que tu dois te prosterner devant moi.

     

    Josiane soupire, hésite... « Au point où j'en suis... » se dit-elle, « je serais stupide d'abandonner. »

     

    -- Mais après ça, je serai engagée ?

    -- Encore une épreuve à passer. La dernière, je te le promets.

     

    Josiane, résignée, se baisse, et, tout en étant habitée par la honte, s'exécute. Elle se prosterne devant Nadia, qui soulève un peu un pied et Josiane l'effleure de sa bouche.

     

    -- Allez...Un bisou ! Ah ! C'est bien ! bravo ! Je le repose par terre et tu le baises cinq fois, puis cinq fois l'autre pied. Tu vois ! Tu l'as fait ! C'est bien, ma belle. Redresse-toi, mais reste à genoux devant ta Patronne, pour la dernière épreuve que je viens de t'annoncer.

     

    Nadia se lève et lui présente ses fesses.

     

    -- Admire ce cul... Comment le trouves-tu ?

     

    Éprouvant une terrible gêne, Josiane bafouille.

     

    -- Je ... euh ...il est... il est... très beau...

     

    -- Tu n'as pas l'air sincère... attention à ne pas m'offenser... comment trouves-tu
    mon cul ?

     

    -- Il... il est superbe...

    -- Vraiment ?

    -- Je... Oui, Madame la Patronne, vraiment... je le trouve superbe.

     

    -- Là, c'est mieux. Et maintenant on va franchir le dernier palier, toutes les deux,
    avant ta signature ! Tu te réjouis ?

     

    -- Oui, Madame la Patronne, je vous avoue que j'aimerais qu'on en termine...

    -- Cela dépend de toi, ma belle . Voilà : je veux te voir nue ! Déshabille-toi. Ne sois

     

    pas gênée, sois fière de montrer ton corps !

     

    Très mal à l'aise, Josiane se déshabille, par des gestes nerveux et maladroits.

     

    -- Garde ton string. Tu es très sexy comme ça ! C'est vrai que tu as un beau corps, presque aussi beau que le mien ! Laisse-moi tâter tes rondeurs... J'aime tes seins... ton joli petit ventre... Tourne-toi. Mmh, tes fesses bien rebondies et bien molles... j'adore ! Quelle peau douce ! Tu es vraiment bien roulée, tu sais ! Tu aimes mes caresses ? Réponds !

     

    -- Je suis gênée.

    -- Ferme les yeux... laisse-toi aller... alors, mes caresses ? Tu n'éprouves rien ?

    -- Si... c'est agréable.

    -- Ah, tu vois ! Contracte tes fesses, pendant que je les pétris. Elles sont plutôt

     

    molles, pas musclées comme les miennes... mais j'aime bien tripoter graisse et cellulite, et là je suis gâtée avec ton beau gros cul bien mou. À toi maintenant : je contracte mes muscles fessiers et tu les tâtes à pleines mains. Tu sens les muscles, hein ? Réponds ! À présent, écoute bien ta patronne : je vais te donner des ordres successifs. Tu devras les exécuter sur le champ, sans hésiter ! Quand tu auras exécuté le dernier ordre, tu seras prête pour signer le contrat ! Tu as bien compris, ma chérie ?

     

    -- Oui Madame.

    -- Alors tu acceptes ? Attention je te préviens : si tu dis oui mais que tu refuses un ordre, tu sortiras d'ici à quatre pattes et adieu le contrat ! Tu as pigé ?

    -- Oui, Madame la Patronne. Je... j'accepte.

    -- Bravo ! Tu seras bien récompensée ! Alors... tâte encore mes belles fesses

     

    rondes et musclées. Allez ! sens bien comme elles sont fermes quand je contracte les muscles ! Baise-les. Tu n'as pas entendu ? Baise mon cul. ... Tu es trop timide ! Presse bien ta bouche ! Mieux que ça ! Applique-toi ! Ah.. c'est mieux... Je veux cinq baisers sur la fesse gauche, cinq baisers sur la fesse droite... ne reste pas à la même place avec ta bouche ! Baise toute la surface, Là.. c'est bien ! L'autre fesse ! - Bien... Écarte mes fesses ... et lèche ma raie !

     

    -- Pardon ?--

    -- Lèche ma raie !

     

    Josiane pousse un cri, effarée.

     

    -- N... Non...

     

    -- Bon ! Alors sors d'ici à quatre pattes. Je te lancerai tes habits quand tu seras
    dans le couloir

     

      • N... Non... Je ... je ...

     

    Et elle pose timidement sa langue sur le haut de la raie.

     

    -- Oui... bravo ! Lèche toute la raie de bas en haut. Recommence. Je ne sens pas assez ta langue. Presse-la plus fort ! C'est mieux... recommence... Tu vois que tu peux le faire... Et ta tête se trouve entre de superbes fesses, ça ne te fait pas plaisir ? Réponds...

     

    -- Non... si... je ne sais pas...

     

    Elle se sent dans un rêve atroce dont elle ne peut s'échapper.... elle répond telle un robot.

     

    -- Tu sais que c'est un privilège que je n'accorde pas à n'importe qui. Il faut être

     

    digne de lécher mon cul, ma raie... et je crois que tu l'es déjà. Alors... Dis-moi ma chérie : tu lèches ma raie depuis quel endroit ?

     

    -- Depuis... depuis au-dessus de votre anus.

    -- Pourquoi au-dessus ?

    -- Mais... Oh non ! Pas ça !

    -- Pas quoi ... ?

    -- Madame, je vous ai obéi jusqu'à maintenant... mais...

    -- Mais quoi ?

    -- Je ne pourrai jamais...

    -- Jamais quoi ?

    -- Lécher votre anus.

     

    Josiane est tétanisée. Nadia reprend sa voix très douce.

     

    -- Écoute... tu as déjà léché ma raie... et tu vas t'arrêter à quelques minutes de la signature de ton contrat ? Je ne peux le croire !

     

    Josiane n'en peut plus, elle sanglote. Elle entend la voix de Nadia, très forte, au ton encourageant.

     

    -- Tu es sur le plongeoir ... tu hésites ... approche ta bouche de mon anus... tu
    regardes l'eau trois mètres sous toi... tu vois mon anus à trois centimètres de ta bouche... tu te décides et tu plonges !

     

    Et Josiane pose sa langue sur le trou.

     

    -- Bravo ! Tu es admirable ! Alors lèche gentiment... un peu plus fort...c'est ça... encore plus fort ... Oui... encore... Lèche bien... lèche bien... lèche bien... Bravo... maintenant presse ta langue le plus fort que tu peux et lèche... lèche... lèche. Mais oui... c'est ça... Vas-y à fond ! Bouffe-moi le cul ! Mmh... C'est bon... tu apprends vite ! Vas-y ! Encore ! Encooooore ! Ouiiiiii ! ... Vas-y... vas-y... je vais jouir !

     

    Josiane est atterrée par ce qu'elle est en train de faire... mais elle le fait... Nadia agite son cul... elle gémit... émet de petits cris. Josiane lèche tant et plus... écoeurée, consternée, elle perd la notion du temps tout en se sachant à deux doigts de sortir de ce cauchemar... Elle entend les cris de plaisir de Nadia... Puis elle l'entend haleter... et peu à peu retrouver une respiration normale. Josiane n'a pas bougé, elle est comme une athlète ayant franchi la ligne d'arrivée...

     

    -- Voilà... Bravo ma chérie... tu m'as fait jouir... Encore un gros bisou sur mon anus ! Voilà, c'est bien.

     

    Nadia se retourne. Dis-moi : qu'est-ce que tu viens de faire, à l'instant ?

     

    -- Je... j'ai fait un bisou à votre anus.

    -- Je n'aime pas le mot anus... c'est trop médical. Répète : j'ai baisé le trou de cul

     

    de ma Patronne.

     

    Josiane répète d'une voix blanche.

     

    -- Je t'ai à peine entendue... plus fort... Encore une fois ! C'est bien. C'est fini : tu as réussi ! Tu as été admirable. Allez, on va se rhabiller.

     

    Peu après, elles se retrouvent assises de part et d'autre du bureau, le contrat sous les yeux de Josiane.

     

    -- Dis-moi : tu m'as fait jouir. Ça te gêne ?

     

    -- Oui... non... je ne sais pas...

     

    -- Aucune importance : tu t'es si bien comportée ! Tu sais que tu es douée ? Je suis très contente de toi. Le contrat est sous tes yeux...

     

    Josiane, bouleversée par ce qu'elle vient de vivre, a de la peine à se concentrer.

     

    En proie à une excitation à laquelle se mêle un trouble oppressant, Josiane saisit le stylo que lui tend Nadia et appose nerveusement sa signature. Nadia applaudit.

     

    -- Parfait ! On signe le double pour toi. Quelle joie pour nous deux, pas vrai ? Écoute : toi tu travailles dès demain, et moi j'ai trouvé une collaboratrice exceptionnelle. Alors... tu ne souris pas ?

     

    -- C'est que... je ne suis pas lesbienne.

     

    -- Peu importe, tu es une très bonne soumise ! Et quand je suis contente d'une soumise, si elle travaille bien, je me montre une patronne très agréable. Tu verras, tu ne regretteras pas ta décision.

     

    Tout en disant cela, Nadia lui sourit avec chaleur.

     

    -- Demain mardi tu commences donc à neuf heures, tu prends une pause d'une heure de douze à treize. Tu travailles jusqu'à dix-sept heures, et cela jusqu'à jeudi. Mais vendredi tu travailles jusqu'à quinze heures, ensuite tu seras à mon service : je suis impatiente de passer deux heures de sexe torride avec toi ! Encore une chose : réponds franchement à ma question et je te laisse partir. Avec ton ami, sexuellement, ça se passe bien ?

     

    -- Oui... mais...

    -- Mais quoi ? Allez... confie-toi à moi.

    -- C'est un peu monotone....

    -- Sache qu'avec moi ça ne sera pas monotone. Sexuellement, je suis une vraie

     

    déesse. Et vendredi tu jouiras merveilleusement !

     

    -- Mais ... non, je ne veux pas baiser avec un autre homme...

     

    Nadia part d'un rire joyeux .

     

    -- Quelle nouille ! Mais non ma belle, c'est ta patronne qui te fera jouir... et tu verras que je sais faire jouir une femme... tu auras un orgasme bien plus torride que ce que ton ami est capable de te donner, je te le promets ! ... Au revoir, belle Josiane, à demain. Allez, on s'embrasse sur la bouche !

     

     

     

    FIN

     

     

     

     

     

     

     

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